Michel Bruyère nous avait manifesté son soutien enthousiaste dès la parution sur haulet.be des aventures de Léon Haulet au Congo et au Rwanda :
1/5/2020 – Mail de Michel Bruyère :
Bonjour Charly , bonjour Philippe ,
Je vous remercie pour l’information de la Ré-ouverture du site ww.haulet.be
et pour le premier envoi de la correspondance africaine passionnante d’oncle Léon .
Je me suis empressé de m’inscrire pour recevoir la suite…de ce travail colossal de retranscription
réalisé par Charly.
Cette tranche de la vie de Léon Haulet m’attire pour trois raisons :
La première s’explique par mon mariage avec votre cousine Mamo qui m’a fait connaître son oncle dès nos fiançailles en 1953 .
Il était à ce moment-là major BEM , je crois attaché à l’administration de la Défense , à Bruxelles.
Je n’imaginais pas que jeune militaire topographe , il avait réalisé la topographie officielle du Ruanda-Burundi !
Son récit m’a captivé ( — » son cher théodolite ! « — ) parce que j’ai fait mon service militaire comme C.O.R. dans un bataillon de… topographes ! , en Allemagne occupée , à l’artillerie du Corps d’Armée .
La seconde raison s’explique par l’attachement que j’éprouve pour l’histoire du Congo , spécialement depuis un voyage d’étude
de l’industrie congolaise durant 7 semaines en août-septembre 1953 ,avant ma dernière année d’univ’ comme futur ingénieur (chimie et métallurgie).
C’est vous dire que j’ai pu visiter les principaux centres de l’activité chimique et métallurgique de la colonie à l’époque de son apogée ,
ainsi que quelques unes des nombreuses réalisations sociales , remarquables en de nombreuses matières , pour les autochtones.
Et cela , une trentaine d’années seulement après les séjours d’Oncle Léon ! De quoi me faire , grâce à ses lettres , une petite idée de sa mission en des territoires beaucoup moins développés à cette époque.
La troisième raison est familiale ! Car , apprenant mon projet de ce voyage en 1953 , quelques » belgicains » résidant là-bas , membres ou amis de la famille de Mamo , ma fiancée , m’ont invité avant mon départ à passer chez eux et faire connaissance !
C’est ainsi que , au nord de Stanleyville , j’ai fait la connaissance d’Albert et Poucette , sur la route des mines de Kilo-Moto
A Bukavu , les parents de Monique Alsberge m’ont conduit chez leur fille et André , mon future et dynamique beau-frère , installés au bord du lac Tanganika et heureux parents depuis 5 mois ,de la petite Sabine ;
A Albertville,( suivant toujours mon itinéraire d’études !) , logé chez le Dr Paul et Julia Fonsny , avant 3 semaines de visites des usines du Katanga.
A Léo enfin , m’attendaient avec leur gentillesse tante Mimine et oncle Maurice , ainsi que mon ami de classe Stany Dembour , futur jésuite en stage au Lovanium .
Lors du lancement de la généalogie de la famille Haulet-Magis, il me fit parvenir ses propres notes sur la généalogie de la famille Bruyère.
Par la suite, je l’ai approché pour avoir son sentiment quant à la publication d’un « dossier » sur Child Focus et les événements tragiques familiaux qui l’ont amené à la création de cet organisme. Après réflexion, il préféra n’y plus revenir.
Sa gentillesse et sa disponibilité m’ont profondément marqué.
Michel Bruyère nous avait manifesté son soutien enthousiaste dès la parution sur haulet.be des aventures de Léon Haulet au Congo et au Rwanda :
1/5/2020 – Mail de Michel Bruyère :
Bonjour Charly , bonjour Philippe ,
Je vous remercie pour l’information de la Ré-ouverture du site ww.haulet.be
et pour le premier envoi de la correspondance africaine passionnante d’oncle Léon .
Je me suis empressé de m’inscrire pour recevoir la suite…de ce travail colossal de retranscription
réalisé par Charly.
Cette tranche de la vie de Léon Haulet m’attire pour trois raisons :
La première s’explique par mon mariage avec votre cousine Mamo qui m’a fait connaître son oncle dès nos fiançailles en 1953 .
Il était à ce moment-là major BEM , je crois attaché à l’administration de la Défense , à Bruxelles.
Je n’imaginais pas que jeune militaire topographe , il avait réalisé la topographie officielle du Ruanda-Burundi !
Son récit m’a captivé ( — » son cher théodolite ! « — ) parce que j’ai fait mon service militaire comme C.O.R. dans un bataillon de… topographes ! , en Allemagne occupée , à l’artillerie du Corps d’Armée .
La seconde raison s’explique par l’attachement que j’éprouve pour l’histoire du Congo , spécialement depuis un voyage d’étude
de l’industrie congolaise durant 7 semaines en août-septembre 1953 ,avant ma dernière année d’univ’ comme futur ingénieur (chimie et métallurgie).
C’est vous dire que j’ai pu visiter les principaux centres de l’activité chimique et métallurgique de la colonie à l’époque de son apogée ,
ainsi que quelques unes des nombreuses réalisations sociales , remarquables en de nombreuses matières , pour les autochtones.
Et cela , une trentaine d’années seulement après les séjours d’Oncle Léon ! De quoi me faire , grâce à ses lettres , une petite idée de sa mission en des territoires beaucoup moins développés à cette époque.
La troisième raison est familiale ! Car , apprenant mon projet de ce voyage en 1953 , quelques » belgicains » résidant là-bas , membres ou amis de la famille de Mamo , ma fiancée , m’ont invité avant mon départ à passer chez eux et faire connaissance !
C’est ainsi que , au nord de Stanleyville , j’ai fait la connaissance d’Albert et Poucette , sur la route des mines de Kilo-Moto
A Bukavu , les parents de Monique Alsberge m’ont conduit chez leur fille et André , mon future et dynamique beau-frère , installés au bord du lac Tanganika et heureux parents depuis 5 mois ,de la petite Sabine ;
A Albertville,( suivant toujours mon itinéraire d’études !) , logé chez le Dr Paul et Julia Fonsny , avant 3 semaines de visites des usines du Katanga.
A Léo enfin , m’attendaient avec leur gentillesse tante Mimine et oncle Maurice , ainsi que mon ami de classe Stany Dembour , futur jésuite en stage au Lovanium .
Lors du lancement de la généalogie de la famille Haulet-Magis, il me fit parvenir ses propres notes sur la généalogie de la famille Bruyère.
Par la suite, je l’ai approché pour avoir son sentiment quant à la publication d’un « dossier » sur Child Focus et les événements tragiques familiaux qui l’ont amené à la création de cet organisme. Après réflexion, il préféra n’y plus revenir.
Sa gentillesse et sa disponibilité m’ont profondément marqué.
Michel Bruyère